Nous disons souvent: Faire Son Deuil….Et si c’était le deuil qui nous faisait? Un peu comme une oeuvre qui prend vie avec les couches superficielles qui s’enlèvent tout au long de notre création ?
Et si chaque rupture était l’oeuvre du sculpte heure de notre vie que nous appelons notre âme?
En inversant le point de vue, la gravité s’inverse aussi.
Le deuil ne devient plus une technique à appliquer ou un programme à exécuter, mais une musique qui nous informe de l’avancement de l’oeuvre…
Et alors chaque morceau qu’on perd nous rapproche de notre centre de gravité duquel rayonne notre âme.
Merci à l’amie qui a inspiré cette réflexion de même qu’une jolie synchronicité avec Leonard Cohen à paraître ce printemps dans la préface du prochain livre de Alain Stanké sur le hasard…

